Chère Ariane Walter,
vous portez l’écriture et la réflexion sur des sommets parfois inaccessibles au plus grand nombre. C’est le lot de tout (e) grand (e) littéraire.
Les mots ne sont ni pacifiques, ni anodins et lorsqu’on les conjugue parfois à l’imparfait du « subjectif » il faut savoir accepter la critique ou l’encens des gens de l’Art
Je le dis haut et fort, avec vous comme rédactrice, et quelques autres, je veux bien refaire COMBAT à votre convenance et au moment qu’il vous plaira.
Cordialement.
Leo. Bloggerfou.