@ Le peripate
Le jour même, rien.
Mais le lendemain les Etats font défaut. C’est à dire qu’ils cessent de payer leurs fonctionnaires. Car qui irait prêter l’argent si un trait de plume peut tout effacer ? Vous ?
Moi, non !
Mais que faites-vous de la planche à billets ?
Car après tout les dettes nationales sont des histoires financières entre organismes internationaux et Etats prêteurs. Tant que les citoyens d’un pays continuent à utiliser la monnaie-papier pour toucher leur paie et régler leur échanges, il n’y a pas forcément d’effondrement à court terme. Non ?
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