Quand j’étais petit, j’étais scout.
On apprenait en quelque sorte à essayer survivre sans outil moderne, avec le minimum.
Et on n’y arrivait déjà pas trop, bien que beaucoup mieux que bien d’autres.
Mais je me suis souvent mis dans la peau d’un Robinson sur une île déserte, avec ses mains, sa bite et pas de couteau. Eh bien y a pas photo : tu crèves.
On a perdu notre autonomie, avec notre liberté, dans un marché de dupes.
Quand tout ça nous pétera à la figure, vaudra mieux être un insecte ou un singe pour survivre.
Après tout, bon débarras pour cette pauvre Terre, qu’on aura si mal aimée.
On reviendra quand on sera moins cons.