• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Signaler un abus

taktak 24 juillet 2013 10:55

Comme c’est facile ce que vous dites. Sauf que c’est de la caricature et du sophisme.

Ce que l’article met en cause c’est en premier lieu le système capitaliste, et la domination d’une oligarchie capitaliste sur l’ensemble des travailleurs. Cette classe capitaliste qui alors que ses médias répètent à l’envie que les travailleurs vivent au dessus de leur moyen et doivent se serrer la ceinture, cette classe qui par son avidité sans limite est responsable de la crise économique, mais également de la destruction de l’environnement, cette classe s’est goinfré en augmentant sa richesse de 25%....

Alors oui, ces riches sont des assistés, ou plutôt des profiteurs, qui exploitent le travail d’autrui. Oui pour continuer à ce goinfrer cette classe confisque le pouvoir à son profit. C’est cela le capitalisme. par exemple c’est ces ministres des finances qui sous la conduite de Bruxelle décident de se servir directement sur les comptes des travailleurs chypriotes pendant que « les riches » se gobergent d’une fortune en augmentation de 25%.
Ce sont les mêmes qui expliquent qu’il y a trop d’impots et qu’il faut laminer la retraite, la sécu et l’ensemble des services publics, baisser les salaires etc....

Alors de deux choses l’une, soit vous êtes un vrai capitaliste (c’est à dire qui ne vie pas de son travail, mais de son capital) et votre réaction est parfaitement compréhensible, soit c’est le lavage de cerveau façon « plus le gâteau des riches est gros, plus il y aura de miettes pour ceux qui triment » vous a totalement intoxiqué pour défendre ceux qui vous exploite. Dans le second cas, il est temps de vous confronté à la réalité : plus le gateau des riches et gros, plus ils ont faim et moins il y a de miettes à répartir. Au contraire, si le gateau est partagé uniquement entre ceux qui travaillent et pas avec les parasites capitalistes, chacun pourra avoir correspondant à ses besoins et à son travail



Palmarès