Bonjour Jack. Toujours pas parti en vacances ?
Je vois que les moinsseurs habituels et malveillants sont aussi toujours fidèles au poste..

Ah sans eux on se ferait des idées fausses sur la nature humaine...
Toujours aussi poétique en effet dans l’expression mais le fond est toujours plein de sagesse, reflet de cette dualité Cancer/Capricorne..

La liberté pour Nietzsche est liée au caractère guerrier.
Vrai. Nietzsche, effectivement de tempérament guerrier, a raison.. On trouve aussi de bonnes descriptions de ce tempérament guerrier chez Castaneda (que je considère malgré tout comme un fumiste en tant qu’auteur)
On a de ces guerriers modernes chez les amateurs de sports extrêmes tels Christophe Profit, Escoffier, Boivin, Edlinger, etc..
Mais la liberté peut aussi être le fait du brahmane. L’autre pôle, l’ombre du guerrier. Lui il réalise cela par le détachement, la philosophie au sens vrai et antique (pas ce bavardage moderne sans forme et sans fond..), sans forcément beaucoup sortir de chez lui...
Le problème est que l’on peut facilement jouer au brahmane, sans en avoir le coffre, se leurrer soi-même.. C’est plus difficile de se leurrer soi-même quand on est confronté au réel extérieur, de par la sanction des faits.
Quoiqu’il en soit le guerrier mène souvent au brahmane, on voit en effet chez eux une acceptation du fatum qui se fait à la longue, et un perpétuel oui aux choses, qui se dessine..
Le brahmane, quant à lui, se fait guerrier sur les bords, de par son souci constant de vigilance, son indépendance farouche..
Le guerrier est centrifuge (extraverti), le brahmane centripète (introverti), mais dans le fond ils se rejoignent.