Tous ces acte de malveillance doivent être sévèrement sanctionnés, quels qu’ils soient. C’est le travail de la police et de la justice, mais le ministre n’a pas à venir sur les lieux pour soutenir les tenants d’une religion, c’est là une confusion extrêmement grave. Bis repetita : c’est comme si le politique prenait parti pour l’interprétation de l’islam donnée dans les mosquées.