Quand nous étions gosses, le« tour de France » était un jeu de billes : tracée dans la terre ou le sable, la route tracée du tranchant de la paume, avec ses cols et autres accidents de terrain.
L’emplacement de la bille était marqué par un petit coureur, genre soldat de plomb, auquel un nom était attribué. Bartali bien sûr, Coppi, mais aussi Kübler, Koblet, Géminiani, Bobet, Stan Ockers, .. Il y avait un vrai peloton, avec à chacun son nom.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération