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JMBerniolles 5 novembre 2013 15:21

Encore un article, mis en avant comme une référence d’analyse, plein de lacunes et de contre-vérités démontrant une méconnaissance paresseuse du sujet, - il suffit de se renseigner sur la situation actuelle aux abords de Tchernobyl, sur celle dans la Préfecture de Fukushima et sur le site de Fukushima Daiichi où il y a plus de 20.000 travailleurs en permanence, pour éviter d’écrire ce type de désinformations au but anti nucléaire primaire-.


Mais il faut bien entretenir les « monstres », Tchernobyl et Fukushima, que l’on a créés à cette fin, pour continuer à faire peur, alors que les gens voient bien que les autres pays industrialisés relancent le nucléaire. Et qu’ils commencent à percevoir que les réalités à Fukushima Daiichi sont bien moins terribles que ce que l’on a fait croire à force de propagande orchestrée. 

Il n’est évidemment pas du tout scientifique de faire des r aisonnements sur des probabilités d’accidents nucléaires graves en mélangeant des types de réacteurs nucléaires complètement différents.

On ne peut mettre sur le même plan TMI, où il n’y a eu quasiment aucune contamination extérieure, et Tchernobyl/Fukushima où l’on atteint le niveau 7 de ce point de vue.
TMI est la référence d’accident grave pour un REP et même un EPR qui bénéficie d’une sûreté améliorée à partir de toutes les études de sûreté qui ont suivi cet accident de TMI. Et qui comprennent déjà une majorité de mesures qui auraient évité les défaillances rencontrées à Fukushima Daiichi.




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