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Le drame, dans l’affaire c’est en définitive que le président nous aura révélé la réalité de sa dimension... véritablement et indécrottablement minuscule.
La dame en question, avait bien évidemment accepté sa nomination scélérate (au nom de la vie privée bien sur) par Aurélie Filippetti avec sans doute les primes et indemnités afférentes ; combien cela nous aurait-il coûté ?
Restons quelques secondes au niveau où évolue le clown triste qui sert de Président, et tirons-en parti pour en tirer quelques conclusions.
Si Marguerite Steinheil a été la « Pompe funèbre » de Félix Faure, Julie Gayet ne serait en somme que la « Pompe à Phynances » de François Hollande.
Lequel devrait se rappeler l’hommage posthume rendu par Clémenceau au président défunt :
« Félix Faure est retourné au néant, il a dû se sentir chez lui. »
Aujourd’hui, le « chez lui » de François Hollande s’appelle « rue du Cirque » ; les hasards de la vie sont impitoyables.
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