Voyez vous Monsieur ce que vous appelez une victoire est sans doute une défaite et une injure pour Vincent. J’ai un profond respect pour la vie mais je m’efface et je me fais humble devant la souffrance d’autrui. Vous vous octroyez le droit, au nom de votre religion et de la morale qui en découle, de décider de la vie ou du départ de celle-ci à la place de l’intéressé lui-même. Je vous souhaite vivement de ne jamais vous retrouver à vivre comme un légume avec toutes les souffrances psychiques et physiques que cela comporte car ce jour là, emprisonné dans votre corps immobile comme une cage et pourrissant à petit feu dans un lit d’hôpital vous supplierez votre Dieu absent que cela cesse au plus vite mais, malheureusement des gens plein de certitudes comme vous, vous maintiendront en vie artificielle par principe. Conclusion, avec des raisonnements comme le votre, notre vie ne nous appartient pas.
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