monsieur docdory soyez gentil de ne pas m’obliger à démontrer aux aveugles toute l’articulation sioniste, bien sûr que tout est plongé dans des références bibliques et l’univers judéo-chrétien n’est pas en reste car c’est d’ailleurs ce lien qui a permis tant d’indulgence vis-à-vis d’isreal pourtant les musulmans reconnaissent jésus comme prophète né de la vierge marie comme ils reconnaissent prophètes tous les prophètes des juifs alors que pour les juifs jésus n’est rien que le fils de joseph et certainement pas prophète alors on s(étonne du mépris vis-à-vis des musulmans en ce qui concerne les liens religieux vu que le mépris n’est pas là où on le sert ;
quant au film, au-delà de l’essentiel qui saute aux yeux, chacun y verra ce qu’il veut voir et comme d’habitude en la matière c’est suffisamment bien fait pour prêter le flanc au doute quand on a affaire à des gens de mauvaise foi.sans même reprendre les références dans le film, rien que les noms : «
Thomas Römer voit encore de nombreux liens entre Néo et Moïse. « Néo apparaît comme une combinaison des figures de Moïse et de Jésus-Christ. Comme Moïse, Néo a une double identité et, après une longue résistance, il finit par accepter son rôle messianique. Comme le sauveur du peuple d’Egypte adopté par la famille royale des pharaons, Néo doit quitter le monde illusoire du confort pour découvrir sa vraie nature et celle de l’humanité, afin de libérer son peuple de l’esclavage de la matrice. »
quant à sion qu’il faut sauver dans le film, lieu de la résistance des hommes libres faut-il le rappeler : »
« Sion est l’autre nom de Jérusalem, dit Thomas Römer. C’est le centre du pays promis aux Juifs qui reviennent en terre d’Israël, une ville sainte toujours protégée par Dieu. Dans la Bible hébraïque, Sion subsiste mê-me si tout sur la Terre est détruit. Les psaumes disent aussi que le Messie arrivera à cet endroit. »