Pour un homme qui se veut rassembleur, sa méthode est pour le moins contre-productive.
Face à ses insultes, deux attitudes sont possibles. La faux-cul, genre Fillon, qui fait semblant de ne pas y croire, ou l’attitude de Bertrand qui en a assez de se faire marcher dessus. Et quand je dis, marcher, c’est pour rester poli.
Reste à comprendre l’enthousiasme de ses fans pour un tel personnage.