C’est à dire, que lorsque l’on croit à ses idées, on a envie de les défendre avec passion en général..
Personnellement, en lisant, puis en étudiant Freud, très jeune, j’ai été à la fois frappé par la force de ses idées et son manque de certitudes, ses interrogations. Je le sentais presque effrayé, dans ses écrits même, par les idées qu’il développait. Pour lui comme pour beaucoup de chercheur, la confrontation des idées, la discussion autour d’idées était absolument nécessaire pour avancer.
Les attaques, plutôt sur la personne, qu’il a subi de la part d’ONFRAY, m’ont définitivement fait classer celui-ci parmi les ânes prétentieux que les médias utilisent. Ce qui n’a rien du hasard.