Bonjour Chalory
Votre texte est audacieux et tranche par sa singularité avec le ronron des articles du jour, et je suis partie prenante pour en faire une base de discussion, notamment sur le cheminement du processus du passage à l’acte suicidaire.
En effet, qui n’ a pas formulé intérieurement les mêmes questionnements que vous, à la suite de la nouvelle du krash implicant le co-pilote Andréas LUBITZ, tristement célèbre, à l’échelle planétaire ?
Oui ! on ne parle que d’Andréas LUBITZ, partout, dans les journaux télévisés, la presse écrite, internet, dans les conversations privées...
Un acte volontaire de vengeance de cette ampleur, emportantant 150 victimes, sans être unique dans son genre, a rarement été perpétré par un européen, non issu du milieu terroriste, c’est ce qui a secoué les européens à l’annonce de la nouvelle, embarrassé les autorité politiques, les dirigeants de la Lufthansa, c’est la raison du cafouillage de l’information au public, des discours creux des journalistes qui ont tenté une fois de plus de manipuler l’information sur les ordres des gouvernements resptectifs.
Faire exploser un avion avec à son bord 150 passagers est habituellement l’oeuvre des terroristes !
Or, dans ce drame, c’est le co-pilote qui semble avoir volontairement détruit l’appareil.
Et de se poser la question qui prime, mais qui était donc Andréas LUBITZ pour s’être comporté comme un terroriste ?
Qu’est ce que a bien pu le conduire au passage à l’acte suicidaire de ce qui ressemble à un attentat aussi meurtrier ?
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