@Emile Mourey
voici ce que dit le verset en question :
22. Ils diront : "ils étaient trois et le quatrième était leur chien". Et ils diront en conjecturant sur leur mystère qu’ils étaient cinq, le sixième étant leur chien et ils diront : « sept, le huitième étant leur chien ». Dis : "Mon Seigneur connaît mieux leur nombre. Il n’en est que peu qui le savent". Ne discute à leur sujet que d’une façon apparente et ne consulte personne en ce qui les concerne.
Oui bien sur qu’il n’était pas « un » mais il n’est pas dit non plus qu’ils étaient 7.
L’auteur de la sourate ou plutôt du verset en question puisque cette sourate 18 n’évoque pas uniquement ce récit n’est autre que Dieu lui-même. Pour les musulmans bien sur. Puisque la parole du Coran est celle de Dieu. D’où ma réponse seul Dieu connait leur nombre exact qui, par ailleurs, n’est pas vraiment le but de ces versets. Il y a effectivement une certaine ferveur à propos et autour de ce chiffre 7. Et ce verset échappe justement à cette tendance tout en laissant le mystère planer. Mais au fond perso ça n’a pas vraiment d’importance c’est plutôt la façon dont ces jeunes gens ont échappé à l’idéologie romaine de l’époque et donc de la persécution de tout ce qui ne faisait pas parti de leur culte.
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