Franchement, on passe du Bangladesh au marginaux qui « ont besoin de crédits pour consommer », (à méditer). Ensuite on apprend que les Kabyles tiennent des épiceries... Il faudrait sortir un peu : à Paris les Kabyles sont davantage chauffeurs de taxis, barmens et avocats qu’épiciers (les épiciers sont plutôt des Marocains d’origine). C’est dommage que vous ne donniez pas de chiffres vous vous seriez aperçu que votre article n’a ni queue ni tête.
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