@Luc-Laurent Salvador
Quand reconnaîtrez vous que aspirez, que vous voulez, que aimez le pouvoir que donne la connaissance ? Vous lisez Jung et vous avez le frisson. C’est un exemple parfait. Exactement l’effet d’un accroissement de sa puissance.
Mais qu’est-ce qui vous autorise à déduire du frisson d’Alinéa à la lecture de Jung que ce frisson est dû au pouvoir que donne la connaissance ?
On peut avoir des frissons pour d’autres raisons que la puissance…
Quand je bois un bon vin j’ai des frissons et cela n’a rien à voir avec la puissance…
On peut avoir des frissons à la vue d’un beau paysage. Nulle puissance là-dedans. Mais communion plutôt.
Et si ça se trouve c’est exactement comme cela qu’Alinéa a perçu Jung : comme un beau paysage avec lequel elle se sentait en affinité...