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Gilles Mérivac 7 novembre 2015 12:34
Gilles Mérivac

Je reprend la première phrase :
Des partis extrémistes peuvent tenter de susciter un mouvement de repli en direction de « partis forts » qui peuvent sembler garantir la stabilité par une politique autoritaire.
L’exemple des élections tunisiennes montre que ce n’est pas nécessaire, les tunisiens résidant en France ayant voté massivement pour le parti islamiste Enhada. Un parti extrémiste conquérant parvient très bien à susciter des engagements enthousiastes, comme le démontrent les français qui s’enrôlent sous la bannière de l’EI, il n’est nul besoin d’un mouvement de repli. C’est la défaite ou le manque de réussite qui suscite en général ce genre de réaction.
Quand à la question posée dans le titre, elle est futile, car les terroristes d’un côté sont des résistants de l’autre côté, il en a toujours été ainsi.



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