@patate. Tsittèrbévégoung en translittération française...
Ce n’est pas l’énergie qui est quantifiée, mais l’action par cycle : h.
Très minoritaires sont les émissions ou absorptions de photons qui ne soient tenues par des règles de quantification strictes : transitions d’un état stationnaire vers un autre état stationnaire, tous deux significativement stables ou métastables. La raison avait été donnée dans la thèse de Louis Victor de Broglie en 1924, puis confirmée par l’équation d’onde de Schrödinger de 1926. L’onde de phase de l’électron doit boucler très exactement autour du noyau, une fois, ou deux fois, ou trois fois, etc.
Deux émissions a priori non quantifiées :
1. Le rayonnement synchrotron d’une particule chargée, dont l’ERSF de Grenoble est une usine remarquable. Réservez votre temps de faisceau un an à l’avance, et avec un dossier technique très détaillé de l’expérience que vous projetez.
2. Le Bremsstrahlung ou freinage d’une particule dotée d’une masse et chargée arrivant dans un milieu transparent et réfringent où sa vitesse de groupe est supérieure à la vitesse de la lumière. https://fr.wikipedia.org/wiki/Rayonnement_continu_de_freinage
Je connais mal le Bremsstrahlung, mais je sais que toutes les expériences que l’on monte dans le prolongement d’un virage à l’ESRF, elles, sont de nature à choisir des fréquences des photons X qu’elles transigent avec le faisceau \beta émetteur. Or c’est la transaction complète qui fait le détail de la fréquence, de la phase, de la durée, et de la polarisation du photon transigé.
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