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@ lsga

Marx dans sa Critique du Programme de Gotha, parlait d’une prise de pouvoir par le peuple en armes et semblait ne point douter que l’étincelle de la révolution ne s’étendrait à l’ensemble des sociétés.

Mais il restait très énigmatique sur ce point.
 
Engels, lui, est beaucoup moins optimiste, au regard des articles de Marx de « la lutte des classes » 1848-1850« . Car d’autres options s’ouvrent par une prise de pouvoir socialiste mais qui présupposait des phases préparatoires, entre autres, les combats syndicaux et démocratiques parlementaires. Dès ce moment s’introduisirent les clivages caractéristiques de l’histoire du socialisme avant la première guerre mondiale, celle de la deuxième internationale.

D’un côté le légalisme de Kautsky avec des syndicats puissants et des forces politiques légalistes,

Et de l’autre côté, Lénine et les Bolchéviques, et un parti révolutionnaire et organisations de masse dites »subversives« .

Et enfin, les analyses de Rosa Luxembourg qui s’appuyait sur les contradictions de plus en plus évidentes du capitalisme et sur la conscience de plus en plus aigue des travailleurs et des objectifs qu’ils devaient poursuivre.

A partir d’août 1914, la deuxième internationale a éclaté,

Le »socialisme" s’est rallié à la Bourgeoisie, les bolcheviques ont pris le pouvoir en Russie en détruisant l’Etat autocratique impérial, pour jeter les fondements d’une organisation socialiste typiquement russe.

Que vous le vouliez ou non, votre révolution généralisée, universelle, cosmos-planétaire que vous appelez de vos voeux, est d’ores et déjà vouée à l’échec, car elle fait partie du passé défraîchi des Internationales qui ont le sait, ont été un fiasco sans nom.

Relisez donc l’histoire du socialisme depuis sa naissance et vous verrez que vos rêves d’assassiner massivement tous les petits-bourgeois de la terre, ne résistent pas à l’analyse. Et bien sûr, dans vos com de trollétaire, jamais un mot sur le grand-patronat, sur les multinationales, de la Grande Bourgeoisie industrielle. Au fond, en bon troll que vous êtes, vous vous en prenez toujours aux mêmes, les petits, comme vos maîtres !