Un auteur qui publie est a son plus vulnérable, et en profiter pour en dire du mal est mesquin. A moins que vous n’ayez vous même publié un bouquin - et n’en mettiez ici la référence - je vous mettrai dans la catégorie des couillons qui tuent du gros gibier lâchement, à partir d’une très haute branche où il se sont hypocritement tapis.