Si quelqu’un se met à étaler un tapis de prière et à se prosterner dans un hall de gare ou sur le trottoir d’une avenue, il va (ou il devrait...) vite être interpellé et invité à aller faire ça dans un lieu plus approprié.
Pourquoi n’en serait-il pas de même avec le port du burkini ? Y a-t-il une si grande différence d’ostentation entre le fait de dérouler un tapis de prière et celui, pour une femme, de se baigner tout habillée, la tête enveloppée d’un foulard, sur une plage française en été ?
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