@chems eddine Chitour
Je n’avais pas beaucoup de temps pour écrire, tout à l’heure, et je n’ai pas même pu me relire et corriger les fautes de frappe.
Il faut quand même que je fasse un sort à votre entrée en matière visant « LES malhonnêtes », lesquels useraient d’attaques ad hominem. Ces malhonnêtes se réduisent dans le paragraphe suivant à UN « sioniste enragé », « taré nostalgique » dans lequel je crois bien pouvoir me reconnaître, qui n’aurait « pas encore digéré que le monde a change, que les peuples aspirent à être libres »
Ce sortes d’injures glissent sur moi comme l’eau sur les plumes d’un canard. Passons.
Il reste que pour qu’il « digère » cette aspiration des peuples à la liberté, ce taré dont toutes les interventions s’accompagnent de la petite photo d’une statue de la Liberté, encore faudrait qu’il ait pu la constater quelque part.
Il a bien entendu parler d’un « printemps arabe », il y a déjà quelques années, qui rappelait le « printemps des peuples » de 1848, mais l’aspiration à la liberté aura finalement produit Morsi en Egypte, Ennahdha en Tunisie, la dictature renforcée de Bachar el Assad après quelques centaines de milliers de morts, le régime du Mussolini des Turcs, l’Etat coranique. C’est bien pire qu’avant, surtout pour ceux qui ne sont plus de ce monde.
Dans tous les cas, ce qui se sera dressé contre la Liberté naissante, c’est un islam conquérant et sanguinaire profitant partout de la confusion « révolutionnaire » pour imposer des solutions pires que les dictatures précédentes, engendrant donc d’autres dictatures qui finiront par être perçues comme salvatrices après les pires horreurs, comme s’il ne devait jamais y avoir d’autre solution.
« La solution, c’est la démocratie ». Cette phrase terminait tous les article d’un Alaa alAswany réunis dans « Extrémisme religieux et dictature », à peu près au début de l’épisode Morsi - Il faudrait que je vérifie, mais je n’ai pas le temps. Le malheureux, qui faillit se faire massacrer par les Frères musulmans lors d’une conférence qu’il faisait à Paris à l’IMA (il avait fallu l’exfiltrer) doit aujourd’hui faire d’amères réflexions sur une illusion qu’on ne risque évidemment pas de lui reprocher d’avoir eue.
La démocratie, dans les pays soumis à l’islam, permet l’arrivée au pouvoir des islamistes qui s’empresseront, dès que la chose paraîtra possible, de la remplacer par le tout-religieux, comme Morsi avait tenté de le faire dès novembre 2012. L’islam est actuellement l’ennemi déclaré d’une France où l’on massacre et où l’on décapite au nom d’Allah, mais il est aussi le premier et le plus grand ennemi des populations arabes. J’en suis à me demander si elles finiront un jour par le comprendre.
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