Une auberge espagnole ? En tous cas, on l’a vu : l’espagnol reste à la porte.
L’auberge est déjà remplie et réservée à 50 % de ses capacités pour les nouvelles têtes. Pas de place pour les losers qui manquent à leur parole.
Pour Hamon, c’est fichu. Il s’est tiré une balle dans le pied, même pas par maladresse, ce qui serait excusable, mais avec beaucoup d’application. Comment les électeurs auraient-ils envie, dans ces conditions, de remettre leur destin entre ses mains ?
Fillon, c’est encore mieux. On reconnaît ses turpitudes à ses postures indignées qu’il prend à propos des autres. Ainsi, il y a quelques années, il n’avait pas de mot assez fort pour qualifier un camarade mis en examen, re belote contre Sarkozy. Aujourd’hui, il accuse Macron d’être le clone de Hollande, pour mieux cacher qu’il est le petit valet de Sarkozy dont la garde rapprochée l’encadre depuis le meeting du Trocadero. Fillon, c’est Sarkozy !
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