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philippe baron-abrioux 5 septembre 2017 15:57

@l’auteur ,

 Bonjour ,

 il parait (jusqu’à maintenant ,au point des avancées des sciences ) que nous serions les seuls êtres vivants à avoir une conscience de la mort , celle des autres êtres vivants et la notre .

 mais le verbe MOURIR dans notre langue est un verbe intransitif (il ne peut voir de complément d’objet ) ; on ne peut pas mourir quelque chose ou quelqu’un . on est en sorte dispensé d’agir , enfin .

on meurt de quelque chose ,et parfois pour rien, , d’une maladie,( de nouvelles apparaissent tous les jours ou presque, rassurez vous) , ou d’amour (c’est l’amour vache ?) , bêtement (il faut être idiot pour mourir ) , brutalement (sans aucune notion de brutalité pourtant ), sans que personne ne s’y attende (ouah , encore capable de surprendre , même ce jour là ! ) , de ses excès (profiteur compulsif !) , du tabac (foudroyé par une feuille ?) , ou par un risque pris trop mal envisagé et trop peu préparé mais le premier risque n’est il pas celui pris le jour de notre naissance pour notre mère d’abord et pour nous ensuite( sans qu’on ait sollicité notre avis) .

 vivre est un risque très mal connu , inhérent à notre naissance et dont le terme est fatalement toujours le même , nous le savons .

 bonne fin de journée .

 P.B.A

 

 



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