ce qui inquiète le gouvernement, ce sont les voix des chauffeurs de taxis et des autres salariés au moment des élections et la montée en puissance des syndicats, c’est tout ! Mais ce n’est pas rien. Sans réactions de la part des intéressés, on continue à charger la bête. Quand elle rue, on se méfie, et quand elle est en colère, on a peur !