Bonsoir, Nicole Cheverney
Après babelouest, vous souhaitez vous aussi aborder la question sous l’angle humoristique.
La réalité : une très large majorité des agriculteurs locaux avait, grâce aux conditions d’expropriation, vendu à bon prix des terres de moins en moins rentables au moment de l’installation des zadistes. Et ces agriculteurs se sont d’autant plus félicités de ce choix qu’ils savaient que leurs exploitations devenaient chaque année un peu plus invendables du fait de la baisse inexorable de leur rentabilité.
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