Fini les machos Delon où Ventura. Place au rappeur noir.
L’homme féminisé est un bien meilleur consommateur. Le rayon « beauté homme » des Galleries Lafayette, en pleine expansion, en témoigne. La consommation s’adresse à l’apparence, la beauté, le dialogue, la
précaution, l’attention, bref aux valeurs féminines. Entre l’homme viril
et la femme, le « gay », puis le « hipster », font la transition. Idoles marketing.
Le fils d’immigré arabe venge la castration subit par son père, castré comme chômeur, employé subalterne, déraciné. Il devient salafiste, outil religieux idéal pour macho suprême. Quand la rue est interdite aux femmes chez lui, en face les gaulois portent une jupe pour signifier qu’ils ne ont que des femmes comme les autres.
Mépris pour ces décadents occidentaux. Et le salafiste bande évidement plus avec une femme objet. Le mari occidental n’a le choix que dégénérer en 2ème mère où se barrer. Il aime toujours, il n’a pas de désir vil dit-on. Alors ps le choix, comme dit Pascal : au premier grain de passion il y a le premier grain de fiasco. La femme est ds les cas déçue.
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