Bonjour. J’ai pioché au début : « une remise en question de soi, de son entourage, voire de son environnement » et trouvé que ça résumait très bien le concept de « solitude volontaire ». En prenant chaque terme séparément, on sourit déjà au gigantisme du projet. D’abord car cette introspection d’échelle cosmique n’est pas offerte à tous, qu’elle nécessite une « épaisseur minimale requise » avec son intangible lot de petites gloires passées, de grandes causes perdues, de grosses baignes reçues par décade, de cicatrices imprimées en forme de souvenirs précieux et autorisant même à faire sous soi de rire, le temps aidant. Ensuite, la solitude offre à ses glorieux disciples (des volontaires, tous bénévoles) un dépassement sûr de l’horizon d’un ciel quotidien devenu noir de jais tant les cons s’y rassemblent pour produire des figures aériennes. Tu es las des conversations binaires avec des chauffe-eaux en panne prolongée ? Epuisé, autant de l’empilage des technologies inutiles que des zombies qu’elles engendrent ? Alors, quitte cette p. d’autoroute Cousin avant de basculer dans la tuerie de masse pour laquelle ton éducation ne t’a pas programmé, va plutôt faire copain avec quelques papillons et regarde comme la solitude s’envole dans un arc-en-ciel de couleurs sans te briser les valseuses ...
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