Cet adossement des monnaies à l’or a toujours fait le jeu des banksters internationaux en leur permettant de tout contrôler.
Le jour où les Etats souverains, s’ils en restent, contrôleront ( et comprendront ce que c’est)complètement leurs monnaies, c’est à dire essentiellement un instrument d’échange des richesses crées ou à venir ( conséquences d’investissements public ou privé) ils n’auront plus besoin de la référence scélérate à l’or.
Ce qui présidera à l’évolution des taux de changes sera d’abord des relations d’Etats à Etats débarrassés de la racaille bancaire mondialiste, la balance commerciale ( ce qui obligera les pays à adopter des politiques économiques visant à produire 80% de leurs besoins ( cf Maurice Allais) et des gouvernements qui auront comme boussole politique l’Intérêt Général et le Bien Commun. On en est loin.