Quand même, on parle enfin du Yémen, et de sa population pilonnée (la nuit, selon les sources yéménites) sur fond de famine, choléra et diphtérie …
Ah la belle langue de bois, au moment où les politiques versent des larmes de crocodile sur ceux et celles tombés aux champs d’horreur, comme chantait Brel…
Les yéménites aiment leur pays et leurs enfants autant que nous aimons les nôtres, et se battront pour protéger les deux, comme les vietnamiens et les afghans, et ils se souviendront des « dommages collatéraux » que nous leur infligeons …
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