@CN46400 « les militants de base n’ont pas encore connaissance de « l’appel du 10 juillet » (Duclos-Thorez), »
Maurice Thorez était allié des nazis en juillet 1940, déserteur de l’armée française et réfugié en Belgique, il a même demandé la parution de l’Humanité aux autorités allemandes, qui ont refusé.
Dans l’Humanité du 3 septembre 1940, Maurice Thorez écrit :
LE PACTE GERMANO-SOVIÉTIQUE
»Le 23 août 1939, la
signature du pacte de non-agression germano-soviétique créait des
conditions de paix à l’Est de l’Europe, mais Daladier et Chamberlain
voulaient leur guerre.
Ils poussèrent le gouvernement polonais à
s’opposer au réglement pacifique de la question de Dantzig et quand la
guerre fut déchaînée sur le sol polonais, ces messieurs de Paris et de
Londres ne firent rien pour aider la Pologne.
Ils vivaient dans
l’espérance que le développement des évènements militaires en Pologne
feraient éclater le pacte de non-agression germano-soviétique et
mettrait aux prises l’armée allemande et l’armée rouge.«
L’Humanité - 3 septembre 1940
Pour Maurice Thorez, en 1940, l’ennemi, c’est la France et l’Angleterre impérialiste (Paris et Londres), les alliés c’est Hitler et les nazis.
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