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Daniel PIGNARD 16 octobre 2019 10:52
Daniel PIGNARD

 « Le 12/11/2009, une lycéenne, vêtue d’un voile islamique, est venue assister aux débats. Interpellé sur ce cas, le président du palais Bourbon, Bernard Accoyer (UMP), a envoyé le 19 novembre une lettre aux députés. Il y souligne que le citoyen « doit se tenir découvert » mais que « cette prescription, vieille de plus d’un siècle, ne saurait être opposée au port du foulard » et vaut uniquement pour le « couvre-chef » des hommes. « Les libertés de religion et d’opinion font partie des droits fondamentaux des citoyens », écrit-il avant de préciser que le port de signes religieux est interdit par la loi « dans les seules écoles, collèges et lycées publics, ce qui signifie bien, a contrario, qu’il est autorisé dans les autres lieux publics ».

Ce n’est pas la première fois que le port de signes religieux fait polémique dans l’enceinte même du palais Bourbon. Déjà, en 2000, sous la présidence du socialiste Laurent Fabius, un prêtre et une religieuse avaient dû respectivement retirer leur croix et leur voile pour s’assoir dans l’hémicycle. »

 

« Ça n’a pas posé de problème. Personne n’a été accusé de raciste, de fasciste, ou de nazi. Il n’y a pas eu de scandale médiatique sur France Télévision, TF1, BFM TV, Cnews, etc... » (Jonas)

 

Conclusion : Encore deux poids, deux mesures, on trouve des excuses et des passe-droits aux Musulmans malgré les textes interdisant expressément d’être couvert (or ils prétendent les femmes à l’égal de l’homme en obligeant à la parité) et les présidents de séance demandent aux prêtres et religieuses d’enlever leur croix ou leur voile.



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