• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Signaler un abus

ribouldingue 10 décembre 2019 11:34
ribouldingue

Macron 1er roi de France n’avait peut-être pas faux lorsqu’il se targuait de lancer devant un parterre de médias partisans que les ouvrier(e)s étaient des illettré(es). Aujourd’hui plus qu’il y a un demi siècle en arrière, puisque les petites gens ne lisent pas ils s’abreuvent d’informations ou plutôt devrais-je écrire de désinformations télévisuelles. En écoutant les informations télévisuelles on dirait des radios crochet en interviewant des badauds. On est en droit de se demander bien d’où ils peuvent bien aller les pêcher. ? Quand un journaliste bien mis sur lui pose la question piège et provocatrice à un charbonnier. Ça va ? Pas trop galère les transports ce matin ? Alors que l’autre qui s’est levé à 2h du matin pour aller au charbon se gèle les couilles en attendant son train. Et ce dernier de répondre par cette fameuse et redoutable réflexion ressassée à chaque mouvement. Comme un citoyen malheureux pleurnichant en voulant se rendre comme un bon petit soldat à son travail pour cirer les pompes de son bien aimé patron. Il suffirait pourtant de faire du co voiturage. Mais non le français est trop égoïste il ne veut pas salir les sièges de sa belle auto. LES SYNDICATS NOUS PRENNENT EN OTAGE ! Elle est belle la phrase non ? Mais savent-ils au moins ce que signifie le mot otage ? J’aimerai bien voir la gueule de celui ou celle qui a le toupet de se croire pris en otage d’être réellement pris en otage par des groupes demandant une rançon dans des conditions de détention déplorable nageant dans leur pisse et leur merde avec un croûton de pain à bouffer et la menace de se faire descendre. L’otage des transports lui ou elle sont mécontents mais ça ne les empêche pas de bouffer, de regarder la tv voire même de baiser à ce que je sache ? Bon bref. Revenons à notre menteur professionnel et mis en cause dans un conflit d’intérêt. Je cite. Monsieur retraite delevoye. Non monsieur retraite nous ne voulons pas bosser jusque 67 ans comme le veut Bruxelles ! Non nous ne voulons pas ‘une retraite par capitalisation ! Nous savons, nous génération du CNR (conseil national de la résistance) et des 30 glorieuses, que la sécurité sociale a toujours été la bête noire du patronat et que tous les gouvernements surtout de droite mais pas seulement se sont efforcés de casser la belle dame. C’est vrai, que l’argent de la sécurité sociale est reversée intégralement aux malades, aux retraités aux familles etc... et que ce bel argent comme le voudrait le patronat depuis sa création ne peut pas être ponctionner et utilisé pour jouer en bourse comme cela pourrait se faire avec les assurances privées d’où la nécessité de casser la sécurité sociale pour les boursicoteurs et les patrons qui pleurnichent à longueur d’année en se plaignant qu’ils payent trop de charges sociales. Qu’ils se rassurent l’empire français est maintenant géré par un banquier qui les comprend bien.



Palmarès