@Spartacus Merci, merci Spartacus, je vivais au paradis sans le savoir, je flippais dans ma chaumière en compassion à d’autres que je croyais exploités, bousculés dans leur rythme, leur liberté, et voilà que vous me décillez. Ah merci, merci Spartacus, je vivais au paradis... heu non... !