@Gollum, de grandes souffrances (Auschwitz) ou perte d’être très chers, non. La douleur s’atténue avec le temps, mais le manque subsiste. Et c’est d’ailleurs mieux. Aucune évolution n’est possible sans souffrance. On ne de devient pas adulte par un coup de baguette magique. Lire : « je tu(e) il » de Michel Cautaerts. Parfois une souffrance peut remonter à trois générations. C’est toute la connerie du livre noir de la psychanalyse. Croire que l’on guérit d’une douleur psychique comme d’une fracture ou grippe. Dans le fond, la meilleure motivation pour commencer un travail avec un psy, c’est le besoin de mieux se connaître et si le bien-être suit, tant mieux.
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