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Fergus 23 juillet 2020 09:22
Fergus

Bonjour, cevennevive

Ce qui me semble grave, c’est l’exemple donné au plus niveau de ce ministère pas comme les autres : c’est dans les commissariats et les gendarmeries que sont recueillies les paroles des femmes violentées, et là qu’elles peuvent déposer plainte contre leurs agresseurs.

Or, de l’avis même de certains responsables, il n’est pas toujours facile de sensibiliser les jeunes officiers à la cause des femmes, et là il est évident que l’on ne rend pas service aux instructeurs ! C’est d’autant plus vrai que nombre des victimes sont dans un état de sidération qui les rend assez largement mutiques ou incapables d’exprimer clairement leur ressenti.

Je me place sur ce plan, pas sur celui de la répression que l’on peut reprocher à d’autres ministres de l’Intérieur du passé dont certains ont été de parfaits salauds.



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