À mon avis deux cas se présentent : soit le capital arrive à faire ratifier le CETA, il y est presque, auquel cas Macron peut se retirer car il aura accompli sa mission. Et alors c’est ouvert. Joffrin ou un autre, aucune importance.
Soit il n’y arrive pas, auquel cas rebelote, Bildelberg redonnera son appui au chouchou et Joffrin n’existera pas.
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