Votre question finale est intéressante mais fait partie d’une vaste ensemble de questions sans réponse, dont celle centrale qui est « pourquoi les autorités ont-elles fait le contraire de ce qu’il aurait fallu faire ? ».
Nous avons la preuve aujourd’hui que provoquer une catastrophe à grande échelle — surtout en étant aux commandes d’un appareil développé et puissant — est chose aisée et qu’on peut contraindre, sans guerre, une population à se soumettre à n’importe quelle volonté aussi débile et perfide soit-elle.
Dans un contexte de crises permanentes qui s’additionnent, il est possible de faire accepter l’inacceptable et, mieux, le transformer en norme — ou, tout du moins, le faire passer dans la case des « moins pires à supporter ».
La preuve en est que les citoyens votent par défaut, que l’Etat a abandonné la plupart de ses missions, que l’ascenseur social est mort, l’économie et le social ont été volontairement sabotés, etc.
En d’autres termes, la crise sanitaire n’est que l’arbre qui cache la forêt d’une attaque frontale et massive de la démocratie qui, sous quelques mandats, sera un lointain souvenir — caché sous les « gestes-barrière », obligations en tout genre, propagande massive et j’en passe.
Le réveil en « République » dictatoriale va être, pour de nombreux Français zombifiés (sans capacité/volonté de jugement et préférant s’enterrer la tête dans le sable), extrêmement violent. Sans parler de ce qui les attend : pauvreté extrême, affrontements violents entre deux classes irréconciliables, esclavage inavoué mais réel, etc.
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