Le féminisme à l’américaine que nous connaissons actuellement n’est qu’une variante de la « discrimination positive », cette manipulation consistant à faire peur à la majorité en proposant des changements inacceptables pour la plupart, et cela dans le but qu’en fait, rien ne change.
Gisèle Halim, elle, était vraiment féministe. Mais de la même façon que l’« écologisme » est larme du greenwashing qui permet d’enfumer en vert, ce qui permet de discréditer le mouvement écolo dans son ensemble et, du coup, mettre un écran sur les réalités, les caricatures que sont les « femen » et autres walkiries ou amazones sont le meilleur moyen de détourner les regards des vraies inégalités hommes/femmes, en commençant pas les écarts de salaires, mais aussi les plans de carrières.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération