@Eric F La différence entre l’ARNm naturel et l’ARNm artificiel est double :
En fait, un processus d’export du noyau très complexe et très précis est utilisé pour envoyer l’ARNm naturel du noyau de la cellule vers sa destination exacte dans le cytoplasme. Sans un tel mécanisme, aussi précis que des trajectoires d’avions dans un immense aéroport, ce serait le chaos dans la cellule.
C’est tout le contraire qui se passe avec l’ARNm artificiel, qui est injecté de telle sorte qu’il puisse traverser n’importe quelle membrane cellulaire.
Son mode d’insertion est donc totalement anarchique et il peut ainsi finir sa course folle n’importe où et pas uniquement vers un ribosome qui est censé exprimé son information. C’est sans doute pourquoi il y a de nombreux effets secondaires à courts termes associés à ce mode de vaccination : des particules d’ARNm peuvent s’échouer en des endroits qui compromettent le fonctionnement normal des cellules sans même avoir été exprimées par un ribosome.
La vaccination par ARNm revient à vouloir poser un avion et le garer dans un hangar en faisant s’écraser une immense flotte aérienne sur un aéroport. Ce n’est pas du « génie génétique » ou de l’acrobatie scientifique de haute voltige, c’est une opération kamikaze qui a de nombreuses conséquences sur l’organisme humain.
Une fois exprimée dans une bactérie intracellulaire, le fonctionnement de cette bactérie peut alors être compromis et mener à des dysfonctionnements non seulement de la bactérie elle-même qui peut avoir un rôle pathogène ou non pathogène dans l’organisme, mais également de son environnement cellulaire immédiat, avec des répercussions sur l’organisme humain.
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