J’ai du mal avec votre article.
Nous sommes d’ores et déjà trop nombreux, certes. Cela est dû à un emballement de l’humanité, qui s’est soudain senti toute-puissante dès les années 60-70. Un tel emballement signe l’enthousiasme, l’insolence et la désinvolture... Tout le contraire, monsieur, de ce qui est en train d’advenir en ce moment même dans le monde entier : inappétence, pusillanimité et paralysie...
Or ce qu’il faut donc savoir, c’est que les prévisions de surpopulation sont du même tonneau que « l’hécatombe-covid ».
Je veux dire : il vaut mieux le savoir et le comprendre avant de mettre un frein — qui n’est nécessaire que parce qu’il est beaucoup excessivement tardif — trop brutal à la natalité. Parce qu’alors cela ne fera que précipiter l’extinction de l’humanité.
En France, par exemple, ne plus octroyer d’aides aux familles aura pour conséquence de diminuer la natalité, de responsabiliser ceux qui veulent un enfant, et surtout de les limiter et de les investir dans son éducation. (Que veulent-ils, de la chair à canon, ou des humains ?)
Enfin, et ce sera mon principal grief : QUI (hé hé hé !) pollue le plus ? La population ? Ou bien l’industrie et les entreprises ???
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