Tant que je peux m’allonger sous un arbre, écouter le champ des oiseaux, entendre le rire des enfants, sauver délicatement de la noyade avec un brin d’herbe un inoffensif frelon tombé dans une flaque d’eau, arriver au carrefour des sept sentiers et laisser le hasard guider mes pas, me promener avec ma compagne et sentir sa main qui se glisse dans la mienne, alors je saurais que je suis vivant et que ne suis que l’invité du bonheur qui vient toujours quand on ne l’attend pas.
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