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@Jonas
Ils ont travaillé dur , comme les Français et comme tous
les Français , ils se sont pliés aux lois et aux valeurs de leur
nouvelle patrie.
Une légende urbaine !
Les migrants italiens en Provence ont été traités comme des chiens.
On les surnommait « les macaronis », ou en provençal « les babis », ce qui veut dire ’les crapauds« . On leur réservait les emplois les plus pénibles, et pourtant, ils étaient catholiques !
Et c’était pareil pour les Polonais, qui travaillaient souvent dans les mines.
Catholiques aussi !
Cf »L’intégration difficile des Polonais". Figure historique de la « Polonia », la diaspora polonaise dans la
région, Édouard Papalski, 90 ans, est l’infatigable militant d’une
double-culture assumée.
"(...) Ils pensaient repartir en Pologne. On parlait polonais à la maison, on mangeait polonais, nos loisirs et sorties se faisaient entre Polonais etc.
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