Les philosophes des Lumières, violemment antichrétiens, ont oeuvré pour remplacer la vision de l’homme Biblique, Dieu qui considère l’homme à son image pouvant recevoir la Parole de Dieu, par un matérialisme philosophique qui DÉSACRALISE et déconstruit l’Humain, devenant ainsi un consommateur lambda mondialisé déraciné sans spiritualité, sans tradition, sans identité, sans culture, sans histoire.
Délivrés des contraintes des Dix Commandements et de la Parole du Christ, les « Lumières » ont libre champ pour imposer leurs idées aussi farfelues que dangereuses.
« La race des nègres est une espèce d’homme différente de la nôtre, comme la race des épagneuls l’est des lévriers. La forme de leurs yeux n’est point la nôtre, leur laine noire ne ressemble point à nos cheveux, et si on peut dire que leur intelligence n’est pas d’une autre espèce que notre entendement, elle est fort inférieure. Ils ne sont pas capables d’une grande attention. »
Voltaire - « Essais sur les moeurs et l’esprit des nations » (1740-1756)
« Nous n’achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres ; on nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l’acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité ; celui qui se donne un maître était né pour en avoir. »
Voltaire (Essai sur les mœurs et l’esprit des nations, 1753)
« Il faudrait cloîtrer ces Nègres avec leurs femelles et conserver scrupuleusement leur race sans leur permettre de la croiser ; c’est ainsi seulement que l’on pourrait savoir combien de temps il leur faudrait pour réintégrer à cet égard la nature de l’homme. »
Buffon - « Histoire naturelle » (1766)
« Notre aumônier prétend que les Hottentots (namibiens, peuplade d’Afrique), les Nègres et les Portugais descendent du même père. Cette idée est bien ridicule. »
Voltaire - « Les lettres d’Amabed » (1769) - Romans et contes - garnier-Flammarion p537
« Enfin je vois des hommes qui me paraissent supérieurs à ces nègres, comme ces nègres le sont aux singes, et comme les singes le sont aux huîtres et aux autres animaux de cette espèce. »
Voltaire - « Traité de métaphysique » (1734-1737)
« La recherche des vérités abstraites et spéculatives, [...] tout ce qui tend à généraliser les idées n’est point du ressort des femmes. »
Jean-Jacques Rousseau : « Émile ou de l’éducation » (1762)
« La fibre féminine est trop délicate pour retenir longtemps une même impression. [...] Les femmes ne doivent pas oublier que leurs connaissances ne peuvent être que superficielles. »
Delamétherie : « De l’Homme considéré moralement ; de ses moeurs et de celles des animaux » (1802)
« Les hommes en général ont des organes plus capables d’une attention suivie que les femmes. » « La supériorité masculine est une chose entièrement naturelle. »
Voltaire : « Dictionnaire philosophique » - Génèse (1764)
« La constitution plus débile des femmes,(...) la texture plus lâche et l’irritabilité de leurs fibres leur interdisent (...) les fatigues morales du gouvernement politique. »
Lequinio - « Les préjugés détruits » - chapitre XIV (1792)
« Mais à ce mot d’instruction, si l’on attache l’idée d’étude des langues, des sciences, des lettres, des beaux arts, sans contredit on doit l’éloigner du peuple ; l’ignorance est préférable. »
« Je ne connais pas d’armes plus dangereuses que le savoir entre les mains du peuple. »
Philipon de la Madelaine - « Vues patriotiques sur l’éducation du peuple, tant des villes que des campagnes » (1783)
« Le bien de la société demande que les connaissances du peuple ne s’étendent pas plus loin que ses occupations. Les frères de la Doctrine Chrétienne, qu’on appelle »ignorantins« , sont survenus pour achever de tout perdre ; ils apprennent à lire et à écrire à des gens qui n’eussent dû apprendre qu’à dessiner et à manier le rabot et la lime, mais qui ne le veulent plus faire. »
La Chalotais - « Essai d’éducation nationale » (1763)
« C’est à regret que je parle des Juifs : cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la terre. »
Voltaire - « Dictionnaire philosophique » « Tolérance », section I (1765).
« surtout qu’aucun Juif ne fasse le tour de ma maison en sonnant de la trompette, ne fasse tomber les murs, et ne m’égorge, moi, mon père, ma mère, ma femme, mes enfants, mon chat et mon chien, selon l’ancien usage des Juifs. ».
Voltaire - « Dictionnaire philosophique » « Tolérance », section V (1765).
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