« La leçon est peut-être que l’hôpital est à ce point en tension qu’il s’avère incapable d’absorber le moindre choc. En outre, ces données évacuent ceux qui ont été éconduits de l’hôpital avec une simple prescription d’aspirine, en croisant les doigts. »
La leçon, à mon sens, est de constater que les milliards d’euros dépensés pour un vaccin merdique, n’ont donc pas été dépensés pour créer des lits d’hospitalisation et des postes de soignants, avec des augmentations significatives de leurs salaires.
« Malgré tout, en regardant cet écart, il n’est pas possible de se départir de l’impression que cette saturation nous aurait été survendue par une stratégie de communication délibérément anxiogène, destinée plus à obtenir une certaine soumission qu’à préserver des hôpitaux. »
Survendue par une stratégie de communication (le coup du « TGV-Covid » a été très parlant), mais aussi par la nasse obligeant les médecins de ville à déclarer leurs patients covid sans pour autant pouvoir leur prescrire les traitements idoines (ces patients n’ont eu d’autre choix que de faire appel au SMUR). Nasse renforcée aussi par la volonté de ne pas faire appel aux hôpitaux et cliniques privées.
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