Zola était fasciné par la peinture et séduit-repoussé par les impressionistes. Il est clair que le nom du « mouvement littéraire » dont on pense qu’il est l’auteur et le nec plus ultra, le « naturalisme », est un terme qui — en effet — ne lui rend pas suffisamment justice, ne tenant pas compte de son implacable lyrisme, son romantisme de la matière y compris la matière psychologique. Bravo pour votre extrait si majestueux ! On retrouve ce genre de description-tourmente picturale, odorante, sonore, etc., dans nombre de ses oeuvres, comme autant de morceaux de bravoure : pour moi, les scènes de séduction d’achat des bourgeoises affolées comme des phalènes par le grand magasin (« Au bonheur des Dames ») ou la presse vociférante de la Bourse (« L’Argent »), etc.
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