« Le problème est qu’en votant ce volet de la loi AGEC, les députés ne se sont pas suffisamment penchés sur les effets pervers induits par ce texte. »
L’inverse aurait été une première. Pour peu que le texte soit discuté après la poularde truffée à la crème du menu du jour, bien arrosée d’un bon Bourgogne puis d’un petit pousse café mérité par le système digestif, si le député se penche, c’est pour vomir, ou qu’il s’endort, ou pire peut-être...
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