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Les logés sociaux sont parqués en condescendance par l’auteur en case « beaufs » et « assistés » et « nuls ».
Il nous les expose comme des pleurnichards, des chialeurs.
Ce paternalisme de posture qui montre un besoin de reconnaissance sociale des membres associatifs qui adorent se faire passerr pour des gens bien est tout le contraire de bien, mais assez affligeant.
C’est pas ces associatifs qui vont créer les conditions des logés sociaux a sortir de l’assitanant puisqu’ils vivent de l’assistanat qu’ils sont censés apporter.
C’est pas en icitant les gens à pleurer, qui renforce les mentalités d’assistés de Français déjà gavés d’aides publiques et bénéficiaires de l’APL qui apporte des solutions concrètes.
Ces associations gangrènent les mentalités et affadissent les comportements individuels de se prendre en charge.
Le monde associatif vie sur une notoriété de bienséance, mais en fait ce que l’on ne voit pas, il est gauchiste, colectiviste et deresponsabilise et nuisible à la prise des individus.
Il faut supprimer ces associations qui ne font rien en fait pour sortir les gens de la misère, mais qui font juste de quoi rester juste au dessus masi surtout pas que les gens dans le beson se prennent en charge, s’enrichissent et prenennt leur libre arbitre.
La dépendance à l’état, c’est une motivation collectiviste pourrie qu’ils insufflent à la société. Derrière ces associatifs se cache une phylosophie malsaine, le socialisme, une abjection humaine du déni de la personalité individuelle.
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