@ETTORE
« Qu’il se fasse Seppuku ».
J’en doute.
Je regrette que la chute du premier de cordée ne se soit pas accompagnée de la cordée entière.
Encore un travail bâclé.
Le Seppuku demande trois choses :
-Un réel sens de l’honneur. Zéro.
-Un réel courage. Zéro.
-Une assistance pour parachever l’éventration : celle du Kaishakunin, qui tranche la tête de l’intéressé avec un Katana.
En cherchant bien...
Certains pratiquants du seppuku se laissaient mourir lentement, mais ils s’assuraient généralement l’aide d’un « kaishakunin », ou second, qui leur tranchait la tête avec un katana dès qu’ils faisaient leur première entaille. L’ensemble du processus était accompagné d’une grande cérémonie. Entre autres rituels, l’individu condamné buvait souvent du saké et composait un court « poème de la mort » avant de prendre la lame.
cf. ci-après : https://eternal-japon.fr/blogs/blog-japon/seppuku
Bien à vous,
RB
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